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venerdì 29 aprile 2011

Le Renouveau de l’Eglise selon Jean Paul II

Le Renouveau dans l’Eglise selon Jean Paul II

Chers amis, dans le cadre de la béatification de Jean Paul II, nous nous proposons, aujourd’hui, et dans une perspective mariale d’évoquer avec vous, quelques aspects qui ont marqué son Pontificat. Ces aspects qui portent sur la plus part de ses  écrits, interventions et voyages apostoliques dans la période de son pontificat, plongent leurs racines dans une expérience antérieure qui a été déterminante dans son choix comme successeur de Pierre.
         Ce qui nous intéresse est son apport oh combien appréciable au Concile Vatican II.
Le jeune archevêque de Cracovie était un des Pères conciliaires les plus actifs. Il apporta sa contribution significative aux travaux concernant le fameux  « SCHEMA XIII», qui dans sa phase finale, est devenu la Constitution Dogmatique « LUMEN GETIUM ». Ses études faites à l’étranger, lui ont permis de faire une expérience concrète de l’évangélisation et de la mission de l’Eglise. Cette expérience particulière a alimenté les débats conciliaires.
Il a fallu un réel effort pour inscrire le dynamisme de l’Evangile dans l’enthousiasme conciliaire, fondé sur la conviction que le Christianisme est capable d’insuffler une « âme » au développement de la modernité et à la réalité du monde social et culturel.
Voilà l’une des contributions qui a servi à préparer et à désigner le futur successeur de Saint Pierre. Sa toute première encyclique « REDEMPTOR HOMINIS », est tout justement l’instrument-preuve qui a servi de tremplein pour son long et magnifique pontificat, largement dominé par la grande invitation lancée à l’humanité, pour qu’elle retrouve la réalité du Christ Rédempteur.
La vie de Jean Paul II fut pleinement dédiée au service du Seigneur, grâce à la protection de la Sainte Vierge. Par sa dévise « TOTUS TUUS », il s’est engagé totalement et a affirmé sa détermination pour le service de l’Eglise et le salut de l’Homme, comme il nous le dit si bien au 14ème paragraphe de Redemptor Hominis.
A son exemple, engageons-nous dans la noble et exigente mission d’évangélisation de notre société, confiants que Marie demeure toujours à nos cotés. Que le Nouveau Bienheureux nous en donne l'énergie nécessaire!

martedì 26 aprile 2011

Bonne et joyeuse fête de Pâques

Bonne et Joyeuse fête de Pâques
A l’occasion des Fêtes Pascales, j’emprunte les paroles de supplication de Grégoire de Nazianze, pour formuler au Grand Maìtre de la Vie, en faveur de tous et de chacun de vous, mes souhaits de Bonne et Heureuse Fête de Pâques. Que la Résurrection du Seigneur soit source de PAIX pour nos familles, pour nos communautés et équipes de vie, pour nos pays et pour chacun dans son milieu de vie. C'est un travail continu qui demande de l’endurance. Courage ! C’est aussi et surtout cela la vie.
« Seigneur,
Continue à me donner, pour que je puisse partager.
Continue à me pardonner, pour que je sache être indulgent.
Continue à m’interpeller, pour que je ne m’enferme pas en moi-même.
Continue à me demander, pour que je ne capitalise pas.
Continue à me bousculer, pour que je ne m’installe pas.
Et prends patience avec moi, pour que je ne me lasse pas de Te servir. »
Grégoire de Nazianze

sabato 16 aprile 2011

Notre gloire passe par celle du Rédempteur


Notre gloire passe par celle du Rédempteur
Notre clef d’accès au triomphe du Christ qui s’effectuera au matin de Pâques, réside bel et bien dans cette forte recommandation du Christ : « Veillez et priez » . Voilà le message pour l’assaut final que la liturgie du dimanche des rameaux nous donne de méditer. C’est la perle précieuse que nous devons garder par devers nous,  dans le seul objectif de l’offrir aux autres, pour qu’ensemble, nous montions à Jérusalem afin de gérer ce moment d’ intense amour que le Rédempteur nous communique.
Profitons-en pour contempler le Père Céleste, qui dans son silence opérant efficacement, glorifie son Fils en lui communicant la VIE. Le Christ n’est qu’une courroie de transmission de cette VIE. Nous en sommes les véritables bénéficiaires. Il est le moyen que DIEU a choisi pour nous rejoindre dans notre condition humaine. Nous ne pouvons qu’aller à sa rencontre, à la suite de Celui qui a accepté que nous lui emboîtions le pas.
Palmes et rameaux à la main, avançons au rythme du tam-tam et des « youyou » et autres « Kilili » de nos valeurs culturelles, et montons avec Lui dans la Cité  du donner et du recevoir, la Jérusalem Sainte. Et que Dieu nous donne d’être unis dans notre élan de demeurer ses vrais adorateurs en esprit et en vérité.

sabato 9 aprile 2011

Le secret de la forte personnalité de Jean Paul II

Le secret de la forte personnalité de Jean Paul II

Chers Amis, la béatification de Jean Paul II le 1er Mai 2011, nous donne l’occasion d’évoquer, un temps soit peu, quelques aspects qui ont marqué son long mais fructueux Pontificat. L’un des fonds spirituels qui aura le plus marqué sa forte personnalité, est ce que l’ont pourrait appeler « sa dévotion toute particulière à Marie ». 
Nous connaissons tous le grand amour de Jean Paul II pour Marie. Mais ce que nous nous proposons d’approfondir, est l’importance de la Mère de Dieu dans la vie du petit Karol, puis dans celle du futur Prêtre et du Cardinal Wojtyla, son intervention dans l’élection du futur Jean Paul II, la puissance de sa main protectrice qui l’a miraculeusement sauvé lors de l’attentat du 13 Mai 1981 et sa présence au moment de sa mort.
Dans ses rapports avec la sainte Vierge, distinguons tout de suite deux périodes : « avant »  et « après » l’attentat. Sa vie d’avant l’attentat est marquée par un amour profond pour Marie, une dévotion purement personnelle. Puis dans l’après-attentat, il s’est ensuite engagé à consacrer le monde entier au Cœur Immaculé de Marie, suite à la redécouverte des messages de Fatima, avant d’offrir, comme en Action de Grâce, ses souffrances pour l’Eglise et pour l’humanité. Mais quelle est la source de ce fond spirituel dont la consistance a contribué à faire de lui, le grand pèlerin de la seconde moitié du 20ème siècle.
Le livre-clef de l’attachement de Jean-Paul II à Marie est le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge de Louis-Marie Grignon de Montfort.
Le jeune Karol découvre le Traité pendant la Deuxième Guerre mondiale, alors qu’il était ouvrier dans une usine. Par sa mère Emilia et pendant qu’il était encore enfant, il avait appris à aimer Marie. La lecture de ce « Traité » qui ne le quittait jamais, va marquer un tournant décisif dans sa vie : le début d’un long cheminement. « Je me rappelle l’avoir porté longtemps sur moi, même à l’usine de soude, si bien que sa couverture était tâchée de chaux. Je revenais sans cesse et tour à tour sur certains passages », comme il aimait lui-même le dire. Voilà l’option fondamentale qui a d’abord modelé le petit Karol et qui a ensuite donné le ton au long mais bénéfique Pontificat Marial que Jean Paul II a offert à l’Eglise !
         Tout en implorant sur chacun de vous la protection de la Sainte Vierge, demandons que l’intercession du Bienheureux Jean Paul II obtienne la PAIX pour ce monde qui tend à fournir peu d’effort dans le sens de l’amour fraternel pour la réaliser.
 

sabato 2 aprile 2011

L’audace de s’abandonner à la grâce de Dieu

L’audace de s’abandonner à la grâce de Dieu
Dis-moi comment tu réagis face à un problème, et je te dirai qui tu es et ce qui t’attend. Voilà qui dit tout de l’homme dont la grandeur et la valeur résident aussi et surtout dans sa manière de  se comporter face à un problème et de le gérer.
A l’image de l’aveugle-né de l’Evangile, il nous arrive nous aussi d’être dans des ténèbres, dans des difficultés, dans des problèmes qui nous accablent au point de nous faire perdre le sens de notre existence. Une chose est sûre: Dieu qui connaît tous les hommes individuellement, est tout proche de celui qui a le cœur blessé ou de celui qui tombe malade. Il prend l’initiative de le secourir pour le conduire à la lumière.
Mais quand Dieu prend l’initiative de venir vers nous et de nous aider, il ne nous reste plus qu’à obéir, sans le moindre justificatif. C’est Lui qui tient les commandes. Avec Lui, plus de risque de faillir en chemin, de perdre l’équilibre, de tomber. C’est ainsi que l’on expérimente la puissance de l'action divine dans notre existence quotidienne, comme l’aveugle-né qui a commencé à voir, avant de reconnaitre Jésus qui l’a guéri.  
Abandonnons-nous donc à Dieu qui a déjà pris l’initiative de nous sauver. Ce gros effort qui engage notre sens de responsabilité, n’est rien d’autre que ce qui nous est demandé en ce 4ème Dimanche du Temps de Carême.