« Berlusconi a
démissionné ! ». Voilà la nouvelle qui a créé une effervescence joviale
pour la population massée dans l’après midi du 12 Novembre devant le Quirinal.
Il a été lamentablement hué au point de se sentir mal à l’aise, aux dires de
ses plus proches. C’est la fin d’un règne certes, mais « guai » à celui qui pense que la
stabilité sociopolitique et financière s’acquiert à coup de décrets portant seulement
sur l’augmentation de la TVA, le gel des salaires, l’âge de la retraite des
femmes à 65 ans…
La vraie stabilité s’acquiert par des décrets, qui font
contribuer tous à l’édification de la cause commune et qui permettent à tous de
bénéficier des retombées positives en temps utile et au prorata de leurs
possibilités et avoirs. Que ce ne soient pas toujours les mêmes qui amassent au
détriment des plus démunis, sans support ni appuis.
La vraie stabilité s’acquiert par des décrets qui font prendre conscience aux individus dans les
familles que l’âge de la majorité n’est pas la condition sine qua non
pour s’octroyer même ce qui n'est pas possible dans le macro système. L’idée de
la mode doit nous stimuler à acquérir dignement, fièrement et honnêtement ce
qui permet à notre être de s’affirmer comme tel.
La véritable stabilité s’acquiert par des décrets qui mettent l’accent sur la persuasion des
consciences tant individuelles que collectives à ne pas vivre au dessus
de leurs moyens. Celui qui ne travaille pas pour gagner honnêtement son pain ne
doit pas non plus se le procurer illégalement ou illicitement sur la base de
l’effort des autres. Le travail ne consiste pas à se faire embaucher et se
procurer immédiatement une dispense « médicale », pour garantir son
salaire sans avoir travailler véritablement.
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